Le caviar d'aubergines en Sirie et en PalestineEn Sirie et en Palestine, le
caviar d'aubergines s'appele
Baba Ganuj... et sa traduction?
Bon, c'est "coquet et vicieux".
Normalement c'est pour sa texture, et parce que, comme c'est très peu energetique, on comence a en manger et on ne s'arreterais jamais.
Mais aux ces payses les mères croiarent que les filles que le mangent deviennent aussi coquettes et vicieuses, comme le plat, et par consequence c'était un plat très valorisé pour faire manger à ses enfants (des filles) pour qu'elles devenierent des parfaites jeunes filles et épouses.
Même si aujourd'hui elles ne sont peut-être considerés des virtus comme avant.
Salah Jamal, un écrivain d'origin Palestine de 57 ans, explique une anecdote en son livre
Arôme arabe, récits et récettes :
Un tante à lui était très croyante et très naive, a transmis sa enorme foi et ses ideales à sa seule fille. Par exemple, elle lui a interdit toujours de manger le caviar d'aubergine justement pour qu'elle grandit equilibrée, sereine, calme, et pas du tout câline !
En effet, quand la cousine à Salah avait quinze ans, elle avair l'air d'en avoir plus de treinte, elle était sereine et bourrue, elle ne parlait jamais et elle repoussait tous les garçons qui essaiarent de se raprocher un peu à elle, qui lui parlait avec douceur, etc.
:no:
Sa mère, la tante à Salah, décédait.
Alors son oncle s'est marié avec une autre dame copletement diferente. Elle était plus "legère" quant aux convictions religieuses et pourtant elle adorait toutes les supertitions populaires. En étant d'origin la Sirie, elle croyait aux yeux fermés au pouvoir misterieux du baba ganuj pour faire marier les filles rapidement et avec des bons hommes.
Alors, elle ne s'en doutait pas de bourrer ses six filles avec le caviar d'aubergines.
À la famille tous voyerent que les petites avaient un evident et même exageré degree de coqueterie. Les six se marierent avant leurs quinze ans.
Sa mère était très contente evidentement, mais par peu de temps.
À debut des ans 80, dans le monde arabe-musulman, et en particulier en leur pays et son entourage, il y a eu une forte vague de re-islamitation très sevère et stricte mais les six soeurs étaient encore très coquettes. elles ne dragaient pas avec d'autres hommes, mais elles aimarent bien se maquiller, s'habiller en jolies couleurs, etc. Leurs maris par contre changerent sa façon a être et a penser, et en ne les voyant plus interessantes pour reagir socialement, ils leur demanderent le divorce.
Mais, qu'est-ce qui lui est arrivé à l'autre? Leur belle-soeur qui ne mangeait jamais du
baba ganuj?
Elle ne trouvait non plus un mari. En effet, c'était normalement l'époque idéal pour les filles conservatrices mais elle était dejà trop agée, bien que bien jeune, pour le gout des hommes de l'époque et avec la nouvelle mentalité.
C'est pour ça que dans l'entourage à Salah on dit "du baba gulaj, ni trop ni trop peu".
Salah Jamal Le caviar d'aubergine et Salvador DalíDalí, le celebre artiste surrealist catalan, n'aimait pas du tout les legumes frais ni les feculentes, et par consequence ses cuisiniers (Paquita Boetas, Jaume Subirós, etc.) s'amusarent à lui en cacher toujours dans en les plat qu'ils lui preparaient. Un des plats favoris était justement, et on dit qu'il a jamais su que c'était à base d'aubergines, le caviar d'aubergine, presenté comme "mutabal, un plat arabe" et en sa
version "catalanisée" avec des anchois.
Construction molle avec des haricots. Prémonition de la guerre civile.
Painté l'anné où la guerre civile espagnole commença, le 1936. En violet vous avez des liens aux recettes.